BERENICE CURT ARCHITECTURE

000PAA recueille des séries de photographies argentiques qui ont fait l’objet de deux expositions en 2014 et 2016 à Paris et une en 2015 à Bâle. Chaque série fait écho à un lieu, une association, une récurrence.

Depuis une dizaine d’années, Bérénice Curt nourrit sa volonté de capturer une seule et unique fois ce qui lui est exposé, de l’isoler et de le distinguer. L’argentique devient un outil de sa culture et de sa pratique architecturale.
Les photographies sont alors des jeux de formes, tantôt aux lignes droites et brutales, tantôt en parenthèses poétiques et courbes. Photographe de rues, d’architectures et d’instants volés, les clichés recherchent l’harmonie en combinant jeux de lumière, d’ombres et de profondeur.
Si les séries s’exposent en images autonomes, elles sont la construction d’un ensemble. Ces compositions livrent une lecture fidèle du regard que pose Bérénice Curt sur ce qu’elle perçoit et suspend au cours de ses pérégrinations.
Avec pour contrainte l’objectif 50mm d’un Canon AE-1, cet exercice de cadrage traduit sa vision et ce qu’elle transmet de son environnement. C’est aussi un travail sur l’acte photographique. Le choix des tirages sur des supports en impression directe, soit en aluminium ou en plexiglas, contribue à cette recherche en affirmant le grain de la photographie argentique au travers de la matière et de la texture.
La première série 001PAA est la seule qui joue avec un principe de superposition à partir d’un même film. Faite in situ, elle propose des rencontres urbaines et architecturales aléatoires, entre Paris et Cologne, Marseille et Matsumoto…

000PAA recueille des séries de photographies argentiques qui ont fait l’objet de deux expositions en 2014 et 2016 à Paris et une en 2015 à Bâle. Chaque série fait écho à un lieu, une association, une récurrence.

Depuis une dizaine d’années, Bérénice Curt nourrit sa volonté de capturer une seule et unique fois ce qui lui est exposé, de l’isoler et de le distinguer. L’argentique devient un outil de sa culture et de sa pratique architecturale.

Les photographies sont alors des jeux de formes, tantôt aux lignes droites et brutales, tantôt en parenthèses poétiques et courbes. Photographe de rues, d’architectures et d’instants volés, les clichés recherchent l’harmonie en combinant jeux de lumière, d’ombres et de profondeur.

Si les séries s’exposent en images autonomes, elles sont la construction d’un ensemble. Ces compositions livrent une lecture fidèle du regard que pose Bérénice Curt sur ce qu’elle perçoit et suspend au cours de ses pérégrinations.

Avec pour contrainte l’objectif 50mm d’un Canon AE-1, cet exercice de cadrage traduit sa vision et ce qu’elle transmet de son environnement. C’est aussi un travail sur l’acte photographique. Le choix des tirages sur des supports en impression directe, soit en aluminium ou en plexiglas, contribue à cette recherche en affirmant le grain de la photographie argentique au travers de la matière et de la texture.

000PAA recueille des séries de photographies argentiques qui ont fait l’objet de deux expositions en 2014 et 2016 à Paris et une en 2015 à Bâle. Chaque série fait écho à un lieu, une association, une récurrence.

Depuis une dizaine d’années, Bérénice Curt nourrit sa volonté de capturer une seule et unique fois ce qui lui est exposé, de l’isoler et de le distinguer. L’argentique devient un outil de sa culture et de sa pratique architecturale.

Les photographies sont alors des jeux de formes, tantôt aux lignes droites et brutales, tantôt en parenthèses poétiques et courbes. Photographe de rues, d’architectures et d’instants volés, les clichés recherchent l’harmonie en combinant jeux de lumière, d’ombres et de profondeur.

Si les séries s’exposent en images autonomes, elles sont la construction d’un ensemble. Ces compositions livrent une lecture fidèle du regard que pose Bérénice Curt sur ce qu’elle perçoit et suspend au cours de ses pérégrinations.

Avec pour contrainte l’objectif 50mm d’un Canon AE-1, cet exercice de cadrage traduit sa vision et ce qu’elle transmet de son environnement. C’est aussi un travail sur l’acte photographique. Le choix des tirages sur des supports en impression directe, soit en aluminium ou en plexiglas, contribue à cette recherche en affirmant le grain de la photographie argentique au travers de la matière et de la texture.

000PAA recueille des séries de photographies argentiques qui ont fait l’objet de deux expositions en 2014 et 2016 à Paris et une en 2015 à Bâle. Chaque série fait écho à un lieu, une association, une récurrence.

Depuis une dizaine d’années, Bérénice Curt nourrit sa volonté de capturer une seule et unique fois ce qui lui est exposé, de l’isoler et de le distinguer. L’argentique devient un outil de sa culture et de sa pratique architecturale.

Les photographies sont alors des jeux de formes, tantôt aux lignes droites et brutales, tantôt en parenthèses poétiques et courbes. Photographe de rues, d’architectures et d’instants volés, les clichés recherchent l’harmonie en combinant jeux de lumière, d’ombres et de profondeur.

Si les séries s’exposent en images autonomes, elles sont la construction d’un ensemble. Ces compositions livrent une lecture fidèle du regard que pose Bérénice Curt sur ce qu’elle perçoit et suspend au cours de ses pérégrinations.

Avec pour contrainte l’objectif 50mm d’un Canon AE-1, cet exercice de cadrage traduit sa vision et ce qu’elle transmet de son environnement. C’est aussi un travail sur l’acte photographique. Le choix des tirages sur des supports en impression directe, soit en aluminium ou en plexiglas, contribue à cette recherche en affirmant le grain de la photographie argentique au travers de la matière et de la texture.

000PAA recueille des séries de photographies argentiques qui ont fait l’objet de deux expositions en 2014 et 2016 à Paris et une en 2015 à Bâle. Chaque série fait écho à un lieu, une association, une récurrence.

Depuis une dizaine d’années, Bérénice Curt nourrit sa volonté de capturer une seule et unique fois ce qui lui est exposé, de l’isoler et de le distinguer. L’argentique devient un outil de sa culture et de sa pratique architecturale.

Les photographies sont alors des jeux de formes, tantôt aux lignes droites et brutales, tantôt en parenthèses poétiques et courbes. Photographe de rues, d’architectures et d’instants volés, les clichés recherchent l’harmonie en combinant jeux de lumière, d’ombres et de profondeur.

Si les séries s’exposent en images autonomes, elles sont la construction d’un ensemble. Ces compositions livrent une lecture fidèle du regard que pose Bérénice Curt sur ce qu’elle perçoit et suspend au cours de ses pérégrinations.

Avec pour contrainte l’objectif 50mm d’un Canon AE-1, cet exercice de cadrage traduit sa vision et ce qu’elle transmet de son environnement. C’est aussi un travail sur l’acte photographique. Le choix des tirages sur des supports en impression directe, soit en aluminium ou en plexiglas, contribue à cette recherche en affirmant le grain de la photographie argentique au travers de la matière et de la texture.

000PAA recueille des séries de photographies argentiques qui ont fait l’objet de deux expositions en 2014 et 2016 à Paris et une en 2015 à Bâle. Chaque série fait écho à un lieu, une association, une récurrence.

Depuis une dizaine d’années, Bérénice Curt nourrit sa volonté de capturer une seule et unique fois ce qui lui est exposé, de l’isoler et de le distinguer. L’argentique devient un outil de sa culture et de sa pratique architecturale.

Les photographies sont alors des jeux de formes, tantôt aux lignes droites et brutales, tantôt en parenthèses poétiques et courbes. Photographe de rues, d’architectures et d’instants volés, les clichés recherchent l’harmonie en combinant jeux de lumière, d’ombres et de profondeur.

Si les séries s’exposent en images autonomes, elles sont la construction d’un ensemble. Ces compositions livrent une lecture fidèle du regard que pose Bérénice Curt sur ce qu’elle perçoit et suspend au cours de ses pérégrinations.

Avec pour contrainte l’objectif 50mm d’un Canon AE-1, cet exercice de cadrage traduit sa vision et ce qu’elle transmet de son environnement. C’est aussi un travail sur l’acte photographique. Le choix des tirages sur des supports en impression directe, soit en aluminium ou en plexiglas, contribue à cette recherche en affirmant le grain de la photographie argentique au travers de la matière et de la texture.

000PAA recueille des séries de photographies argentiques qui ont fait l’objet de deux expositions en 2014 et 2016 à Paris et une en 2015 à Bâle. Chaque série fait écho à un lieu, une association, une récurrence.

Depuis une dizaine d’années, Bérénice Curt nourrit sa volonté de capturer une seule et unique fois ce qui lui est exposé, de l’isoler et de le distinguer. L’argentique devient un outil de sa culture et de sa pratique architecturale.

Les photographies sont alors des jeux de formes, tantôt aux lignes droites et brutales, tantôt en parenthèses poétiques et courbes. Photographe de rues, d’architectures et d’instants volés, les clichés recherchent l’harmonie en combinant jeux de lumière, d’ombres et de profondeur.

Si les séries s’exposent en images autonomes, elles sont la construction d’un ensemble. Ces compositions livrent une lecture fidèle du regard que pose Bérénice Curt sur ce qu’elle perçoit et suspend au cours de ses pérégrinations.

Avec pour contrainte l’objectif 50mm d’un Canon AE-1, cet exercice de cadrage traduit sa vision et ce qu’elle transmet de son environnement. C’est aussi un travail sur l’acte photographique. Le choix des tirages sur des supports en impression directe, soit en aluminium ou en plexiglas, contribue à cette recherche en affirmant le grain de la photographie argentique au travers de la matière et de la texture.

000PAA recueille des séries de photographies argentiques qui ont fait l’objet de deux expositions en 2014 et 2016 à Paris et une en 2015 à Bâle. Chaque série fait écho à un lieu, une association, une récurrence.

Depuis une dizaine d’années, Bérénice Curt nourrit sa volonté de capturer une seule et unique fois ce qui lui est exposé, de l’isoler et de le distinguer. L’argentique devient un outil de sa culture et de sa pratique architecturale.

Les photographies sont alors des jeux de formes, tantôt aux lignes droites et brutales, tantôt en parenthèses poétiques et courbes. Photographe de rues, d’architectures et d’instants volés, les clichés recherchent l’harmonie en combinant jeux de lumière, d’ombres et de profondeur.

Si les séries s’exposent en images autonomes, elles sont la construction d’un ensemble. Ces compositions livrent une lecture fidèle du regard que pose Bérénice Curt sur ce qu’elle perçoit et suspend au cours de ses pérégrinations.

Avec pour contrainte l’objectif 50mm d’un Canon AE-1, cet exercice de cadrage traduit sa vision et ce qu’elle transmet de son environnement. C’est aussi un travail sur l’acte photographique. Le choix des tirages sur des supports en impression directe, soit en aluminium ou en plexiglas, contribue à cette recherche en affirmant le grain de la photographie argentique au travers de la matière et de la texture.